Le Directeur des Français à l’Etranger, suite à l’élection de mai 2014, avait annoncé un nouvel appel d’offres pour l’organisation du vote électronique pour les élections législatives de 2017.
Une réunion rassemblant les parlementaires des Français de l’étranger, organisée le 14 décembre dernier, a permis de revenir sur le bilan des obstacles rencontrés lors des précédents scrutins.
Le Ministère des affaires étrangères est à la recherche d’un nouveau prestataire, d’ici le 15 février, avec étude des dossiers et sélection d’ici avril. Ce prestataire gérerait le vote électronique jusqu’aux prochaines élections consulaires de 2020. L’objectif est de garantir tout à la fois la sécurité du vote, mais aussi une plus grande simplicité d’utilisation.
Le vote électronique s’impose à nous comme une nécessité pour à la fois faciliter l’expression du droit de vote et démultiplier les possibilités de l’exercer, notamment auprès des jeunes.
L’introduction du vote électronique correspond à la spécificité des Français de l’étranger souvent très éloignés des bureaux de vote.
Pour rappel ma question orale sur le logiciel java à Fleur Pellerin :