Il y a deux ans, plus de deux cents jeunes lycéennes étaient enlevées à Chibok par l’organisation terroriste Boko Haram.
Nous n’oublions pas ces jeunes filles prises pour cible alors qu’elles étaient à l’école. Nos pensées vont vers elles et vers leurs familles. Nous ne pouvons que condamner les attaques barbares de Boko Haram, notamment celles menées contre des élèves, ainsi que l’utilisation de jeunes femmes ou d’enfants pour commettre des attentats. Les responsables de ces actes devront en répondre devant la justice. La France, qui avait réuni à Paris au lendemain de cet enlèvement les chefs d’Etat des pays voisins du lac Tchad pour faciliter la coordination de leurs efforts, reste engagée aux côtés du Nigéria et de ses voisins dans la lutte contre Boko Haram.