Dans le cadre de sa niche parlementaire, le groupe socialiste a examiné une proposition de loi portée par mon collègue Hussein Bourgi portant réparation des personnes condamnées pour homosexualité entre 1945 et 1982. Ce texte a été l’occasion de tourner une des pages sombres de notre histoire et de porter un message de pardon et de tolérance.
Bien que la majorité sénatoriale ait rejetée les articles visant à dédommager financièrement les personnes victimes de ces condamnations, l’article 1er appelant à reconnaître la responsabilité de l’Etat français dans les souffrances et les traumatismes causés aux personnes condamnées, a, quant à lui, été adopté à l’unanimité.
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