Le jeudi 15 février, j’ai défendu au Sénat, au nom du groupe Socialiste, Écologiste, et Républicain, une proposition de loi visant à améliorer et garantir la santé et le bien-être des femmes au travail.
Ce texte proposait d’introduire la possibilité pour les femmes qui souffrent de dysménorrhées, c’est-à-dire de règles douloureuses, de recourir à un arrêt menstruel d’un à deux jours par mois sans délai de carence, au télétravail quand cela est possible, ou à une adaptation du poste de travail lorsque la présence physique sur le lieu de travail est indispensable.
Je déplore que la droite sénatoriale ne se soit ni intéressée à ce sujet de société ni saisie de ce texte que j’avais déposé dans un esprit d’ouverture. Bien qu’elle ait déserté les bancs de l’hémicycle, elle s’est opposée à chacun des articles et a finalement rejeté le texte.
Retour sur les étapes de cette proposition de loi :
1. Pour le Parti socialiste et le groupe Socialiste, Écologiste et Républicain du Sénat, je suis revenue en vidéo sur les détails de cette proposition de loi :
2. Mon intervention lors de la discussion générale du texte :
3. Mon explication de vote en séance :
4. Ma réaction après la séance :