En avril 2024, j’ai écrit au ministre de l’Europe et des affaires étrangères de l’époque, Stéphane Séjourné, pour l’alerter sur le refus de certains chefs de postes consulaires d’annexer au procès-verbal les déclarations liminaires formulées par des représentants d’associations représentatives des Français de l’étranger reconnues d’utilité publique ou les motions déposées par des élus eux-mêmes.
Retrouvez ci-dessous la réponse à mon courrier :