J’ai co-signé une tribune avec des élus de tous bords politiques pour appeler (enfin) à une réelle et concrète industrie décarbonée, condition sine qua non de notre souveraineté.
Le dérèglement climatique et la pollution coûtent plus cher aux États en réparations des dégâts et en santé publique que l’investissement dans une industrie propre qui contribuera à préserver la planète. Plus que jamais, nous avons besoin de s’inscrire dans le temps long.
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